Avant de partir en montagne, il est indispensable de connaître les conditions météorologiques. Même si les prévisions ne sont pas toujours à la hauteur de nos attentes de pratiquants de la montagne, il n'est pas inutile de disposer d'informations que nous ne trouverons que sur les sites de météo. Pour les Pyrénées, lorsque nous évoluons sur la frontière ou à proximité, il n'est inutile de connaître les conditons météo et nivologique du versant espagnol. Nous fournissons donc des informations et des sites à visiter avant de partir de part et d'autre des Pyrénées. Par ailleurs, nous donnons des indications pour la compréhension de la situation météo ou nivologique sur le terrain.
La météorologie et la nivologie de ne sont pas des sciences exactes. Il est indispensable de dialoguer et d'échanger des expériences et informations. C'est le but de l'espace "dialogue météo et neige"
Les Webcams sont un excellent moyen pour vérifier les conditions météo à l'instant "T" dans diverses stations.
Nous proposons plusieurs Webcam qui, bien souvent, ne fonctionnent que l'hiver dans les stations de ski.
La fiabilité n'est d'ailleurs pas garantie.
Pour l'enneigement en France, aller chercher une confirmation sur les stations "nivose".
Le Climat:les changements cimatiques sont à l'ordre du jour.
Nous vous proposons un ensemble de liens vers des sites spécialisés.
Vous y trouverez également une bibliographie.
Le petit module permet ainsi d'afficher directement la météo (condition climatique et température à l'instant "T") de l'endroit visionné sur Google Earth ou Google Maps. En outre, un clic de souris sur cette information permettra d'afficher les prévisions pour les jours à venir.
Dans Google Earth,
ces informations peuvent être affichées simplement en activant la case "Conditions et prévisions" située dans la fenêtre "infos pratiques" (en bas à
gauche) sous la catégorie "Météo".
Pour Google Maps,
Ce module n'est plus disponible
Source: Clubic du 15 janvier 2008
L'été est chaud chez Météo France. L'établissement public va procéder dans les prochaines semaines à une grosse migration de son site Web. L'évolution devrait profiter largement aux internautes, promet Jean-François Stranat. " Certaines informations aujourd'hui payantes vont devenir gratuites ", confie le directeur marketing adjoint de Météo France, qui ne souhaite pas en dire plus avant la mise en place de ces nouveautés vers la fin du mois d'août.
Aujourd'hui, le site apparaît un peu en retrait par rapport à la concurrence. Les prévisions météo nationales et régionales sont gratuites, mais sur quatre jours (J+3) seulement. Au-delà, il faut payer. Du coup, les internautes sont tentés de se tourner vers d'autres sites, même si Météo France reste une référence pour eux. Sur celui de la Chaîne météo, par exemple, les prévisions nationales gratuites s'étendent sur sept jours et l'aperçu météo régional sur douze jours.
Une centaine
de clients mécontents
En attendant cette évolution, le site de Météo
France donne lieu à quelques cafouillages, dont Le Figaro se
faisait l'écho mercredi 13 août. Depuis le début
du mois, les formules de prévisions sur abonnement Flash et Plus
sont arrêtées. " C'est normal, explique Jean-François
Stranat. Nous n'allons pas faire payer aux gens des informations qui,
pour certaines d'entre elles, vont bientôt devenir gratuites.
"
Problème, certains clients ont malgré tout recrédité leur compte, pensant qu'ils pourraient prolonger leur abonnement à l'un de ces services. " Il y a eu un manque d'information de notre part, reconnaît Jean-François Stranat. Mais, nous avons rapidement corrigé le tir. " Une centaine de clients (sur un millier de comptes), ont porté réclamation suite à l'arrêt brutal des formules concernées. Météo France s'engage à leur trouver une solution de rechange, sans surcoût et " souvent à leur avantage ".
Les bulletins météo sur une zone très localisée sont en effet précieux pour certains domaines professionnels (BTP, marine, agriculture...), mais aussi pour le grand public. Météo France rappelle toutefois que les bulletins critiques, qui peuvent mettre en péril la sécurité des personnes, restent bien évidemment accessibles à tous, gratuitement.
Auteur: Stéphane Long
Source: 01net du 14 août 2008