Trois démissions de plus au Parc National des Pyrénées

Logo Facebook
Vous êtes ici: Accueil > Parcs-Reserves-Pyrenees > France > Parcs-Nationaux > PNP-Parc-National-Pyrenees > Conseil-Administration-Gouvernance > PNP-Trois-demissions-de-plus-au-Conseil-administarion-parc-national-Pyrenees

Le Conseil d'Administration du Parc National des Pyrénées enregistre trois autres démissions. La démocratie est mise en péril

Après la démission des 3 maires des Pyrénées-Atlantiques immédiatement après leur élection, voici trois autres démissions d'élus du Béarn, et pas les moindres, le 10 août dernier.

Il s'agit du représentant du Conseil Général, Francis Courouau, qui est également Président de la Communauté de Commune du Haut Ossau, Jean Lassalle, député et Robert Casadebaig, maire de Laruns.

Selon le Ministère de l'Ecologie, ces démissions n'ont strictement aucune importance. Elles n'empêcheront pas la mise en place du Conseil d'Administration. Les 3 maires... ils peuvent être nommés plus tard. Parmi les 3 derniers démissionnaires, deux ne le peuvent pas puisqu'ils représentent une structure membre de droit. (Maire de Laruns et Président du Conseil Général).Ainsi donc, le Ministère fort de la représentation républicaine passerait par-dessus pour imposer sa vision raccourcie de la démocratie en France.

Le Minsitère?
Le Ministre? La secrétaire d'Etat?
Et bien non!
Il s'agit d'une petite poignée de fonctionnaires à la solde des organisations écologistes qui font la pluie et le beau temps, font et défont les décisions au grès des exigences au grès des grandes centrales écologistes comme FNE, WWF, Greenpeace, Férus ou Nicolas Hulot.

Les remarques formulées par les trois démissionnaires dans à une lettre adressée au Directeur du Parc National des Pyrénées le 10 août dernier sont révélatrices d'un certain disfonctionnement des institutions républicaines qui ne peut-être que l'oeuvre d'une maffia de fonctionnaires ministériels par ailleurs membres ou proches des centrales écologistes.

Qui dirige vraiment la France?
Des élus démocratiques? des Ministres ou... des fonctionnaires militants?

Louis Dollo, le 2 septembre 2009

- Parc National des Pyrénées: La réunion du conseil d'administration du 9 octobre conforme

Ce vendredi 2 octobre 2009, le Préfet des Pyrénées-Atlantiques a reçu, à sa demande, le député Jean Lassalle, accompagné d'une délégation d'élus, afin d'évoquer le dossier du Parc National des Pyrénées. Le Préfet a confirmé la régularité juridique de la réunion du conseil d'administration du Parc du 9 octobre prochain et souligné les avancées importantes réalisées par le àdécret du 15 avril 2009.

Le décret du 15 avril 2009 porte de 20 à 24 le nombre d'élus locaux qui représentent désormais 46 % des membres du conseil. Ensemble, les élus et les représentants du collège des socio-professionnels disposeront de 80 % des voix. Le conseil et son futur président auront ainsi une forte légitimité pour conduire l'élaboration de la charte de la future zone d'adhésion en étroite concertation avec les communes et les acteurs socioprofessionnels.

Cette charte déterminera les principes de développement durable de àla zone d'adhésion pour les 15 ans à venir. In fine, les conseils municipaux choisiront d'adhérer ou non à la charte; les communes décideront elles-mêmes de faire ou non partie de la zone d'adhésion.

Le Préfet a souhaité que le sens du débat républicain et la volonté de construire ensemble l'avenir l'emportent sur la politique stérile de la chaise vide. Les communes doivent se saisir des opportunités bien réelles de développement offertes par le Parc ainsi que l'ont compris les communes des Hautes-Pyrénées et, d'ores et déjà, sept maires de la vallée d'Aspe.

Auteur: Eric.Bentahar
Source: Pau-Infos du Samedi, 03 Octobre 2009

- Information incomplète du Préfet

En faisant ces déclarations, le Ptéfet des Pyrénées-Atlantiques semblait (ou ne voulait pas le dire) pas très au courant du référé suspsension engagé par l'ASPP 65 concernant notamment l'arrété de nomination modificatif de septembre 2009 et quelques autres étrangetés.

Louis Dollo, le 4 octobre 2009