GreenAlps, un projet de la CIPRA

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GreenAlps est un projet de la CIPRA pour l'arc alpin. Il réunit les grands réseaux transalpins d’ONG, de parcs nationaux et naturels et d’instituts de recherche. Selon la CIPRA, l’applicabilité et la transférabilité des résultats au niveau européen seront vérifiées dans des zones pilotes situées dans différentes régions de l’Arc alpin : les Parcs nationaux du Triglav (Slovénie), de Kalkalpen (Autriche), de Gesäuse (Autriche) et de Berchtesgaden (Allemagne), et le Parc naturel des Prealpi-Giulie (Italie). Aucun parc ni réserve française ne sont annoncés.

Selon la présentation de la CIPRA, "greenAlps réunit autour d’ALPARC (Réseau Alpin des Espaces Protégés), son chef de file, sept autres partenaires. Le projet a débuté en septembre 2013 et se termine en novembre 2014. Il est co-financé par le Fonds européen de développement régional (FEDER) dans le cadre du programme Espace Alpin".

Selon un communiqué de presse, "greenAlps s’appuie entre autres sur les résultats des projets Econnect et recharge.green. Econnect a étudié de 2008 à 2011 comment améliorer par des mesures concrètes la connectivité écologique dans les Alpes, et a émis des recommandations pour la définition de politiques européennes et régionales. Le projet recharge.green, actuellement en cours, développe des instruments pour valoriser la biodiversité et les services écosystémiques dans les Alpes et pour éviter les impacts négatifs de la production d’énergies renouvelables".

GreenAlps estime que: "Une biodiversité alpine intacte et des services écosystémiques efficaces réclament un aménagement du territoire planifié sur le long terme, de nouveaux modes de coopération entre les différents acteurs et décideurs, et des mesures préventives".

Pour réaliser ses objectifs, "greenAlps s’appuie entre autres sur les résultats des projets Econnect et recharge.green. Econnect a étudié de 2008 à 2011 comment améliorer par des mesures concrètes la connectivité écologique dans les Alpes, et a émis des recommandations pour la définition de politiques européennes et régionales. Le projet recharge.green, actuellement en cours, développe des instruments pour valoriser la biodiversité et les services écosystémiques dans les Alpes et pour éviter les impacts négatifs de la production d’énergies renouvelables".

Jamais et à aucun moment, la CIPRA et son projet GreenAlps n'explique les raisons pour lesquelles cette biodiversité est restée intacte pour rendre des services écosystémiques. De la même manière, jamais il n'est fait allusion au développement durable et à la prise en compte du rôle de l'humain dans le passé, le présent et le futur. Le constat de la présence d'une biodiversité intacte fait abstraction du rôle de l'homme dans le milieu montagnard alpin.