Le Monde des Pyrénées

Refuge de Goriz: Quelle est la position des parties?

La FAM présidée par le Docteur Luis Masgrau Gómez a fait son enquête approfondi auprés de ses 6.500 licenciés dont l'opinion, selon Sergio Rivas, membre du Comité des Refuges, est aussi important que les conclusions des études medioambientales réalisées à Góriz.

De son côté, Jesús Casas, responsable de la zone de protection des Parcs nationaux, le problème réside dans le fait qu'il s'agit d'une enquête "tendencieuse et dirigée vers l'une des solutions proposées car personne ne veut démolir le refuge, le réduire à 35 places ou l'aggrandir à 125. Et personne ne veut rien dire". Pour lui, "C'est une enquête faussée, à réponse unique" car elle semble ignorer les autres solutions suggérées par la récente étude médioambiental réalisée par le professeur d'université Eduardo Martínez de Pisón, à la demande des Parcs Nationaux: "maintenir la place nécessaire pour assurer une viabilité économique de Góriz (autour de 70-80), mais en limitant l'aggrandissement de son volume actuel."

Une enquête rigide: Alors que, peut être, la question clé devrait être "pourquoi une telle enquête maintenant, alors que deux études medioambientales ont donné dans leurs conclusions les solutions possibles basée sur, et garanties par un travail scientifique?"

Pour Jesús Casas, responsable de la zone de protection des Parcs nationaux, le probleme réside dans le fait qu'il s'agit d'une enquête "tendencieuse et dirigée vers l'une des solution proposée car personne ne veut démolir le refuge, le réduire à 35 places ou l'aggrandir à 125. Et personne ne veut rien dire"

"C'est une enquête faussée, à réponse unique" ajoute Casas, d'autant plus qu'elle semble ignorer les autres solutions suggérées par la récente étude medioambiental réalisée par le professeur d'université Eduardo Martínez de Pisón, à la demande des Parcs Nationaux: maintenir la place nécessaire pour assurer une viabilité économique de Góriz (autour de 70-80), mais en limitant l'aggrandissement de son volume actuel.

L'opinion de la fédération Sergio Rivas, membre du Comité des Refuges de la Fédération Aragonaise nous assure que cette enquête a été réalisée principalement "pour connaitre l'opinion des 6 500 licenciés de la FAM", qui sont aussi importante que les conclusions des études medioambientales réalisées à Góriz, et qu'il "faut défendre". Curieusement, sur les quatres solutions rédigées, Rivas propose deux solutions drastiques (sa disparition et son aggrandissement à 125 places), une autre non viable économiquement consistant à réduire à 35 le nombre de places de Góriz (le refuge ne serait pas gérable). La dernière (augmenter de 75% le volume en réduisant parallèlement à 80 places), non préconisé par la FAM qui ne se positionnera pas avant de connaître les résultats, est basé sur un consensus obtenu en son temps entre le Gouvernement d'Aragon et la Federation.