Les Pyrénées sont habitués aux indemnisations liées aux prédations d'ours mais beaucoup moins lorsqu'il s'agit du loup ou du lynx. Pourtant ces deux prédateurs sont à nos portes ou peut-être même entrés sur nos estives comme c'est le cas de manière certaine dans les Pyrénées-Orientales. Se pose alors le problème des indemnisations qui relève de règlements différents et parfois incohérents.
Il serait logique qu'il existe une cohérence d'indemnisation entre l'ensemble des motifs de prédation et l'abattage sanitaire. De même, il semblerait normal que ces barèmes soient révisés chaque année comme c'est le cas actuellement pour les sinistres d'ours.
L'administration, la bureaucratie ont des logiques difficiles à suivre. Peut-être un problème de compétence de la part de ces personnes? Ou une volonté de nuire à
une profession?
Difficile à définir. Mais ce n'est manifestement pas une volonté d'efficacité qui prédomine.
Louis Dollo, le 25 juin 2007